Edimbourg - Stirling

Du ferry à la colline, le début de l’immersion

Un van, une envie d’ailleurs

Il y a des voyages qui se programment… et ceux qui se vivent. L’Écosse appartenait à cette deuxième catégorie : une échappée nécessaire. L’appel du Nord, du vert profond, des lochs miroitants et du ciel en nuances. On a chargé le van, on a fermé les mails, et on a suivi la route. Le reste ? De l’imprévu, des émotions, des images plein les poches et plein l’âme. Voici le récit de nos quatre premiers jours, à travers pare-brise et brume légère.

Traversée de la Manche – Cap sur l’inconnu, le regard déjà tourné vers l’Écosse.

À savoir :

  • Réserver à l’avance permet souvent de gagner quelques euros.
    Embarquement généralement 1h avant le départ.~
    Ne pas oublier que… on roule à gauche à la sortie ! (et que la priorité, c’est de ne pas stresser.)

Anecdote historique rapide :
Les falaises blanches de Douvres sont depuis des siècles un symbole de protection et d’accueil. Elles ont inspiré poètes, peintres et stratèges militaires. Elles signalent surtout à tout voyageur arrivant : You’re not in France anymore, darling.

Jour 2 – Calton Hill, la ville au bout des doigts

On entre en Écosse. Le panneau de bienvenue est modeste, mais l’émotion, elle, est grande. Ce jour-là, pas de musée, pas de vieille ville. Juste une montée. Calton Hill. C’est là qu’on décide de faire notre première vraie pause.

La ville se déploie en contrebas, tranquille, un peu sombre, un peu majestueuse. La lumière change sans cesse. Une éclaircie sur une coupole, puis un nuage sur le château. On mitraille, on respire, on écoute les mouettes et le vent. Ce moment suspendu sur la colline a des airs de promesse. L’Écosse est là. Devant. Partout.

 Entre ciel et mer, Édimbourg s’étire sous un tapis de genêts en fleur. Premier sommet, premiers frissons.

La météo annonce « variables », le ciel répond « chef-d’œuvre »

Pour Édimbourg (Calton Hill)

Un peu d’histoire :
Calton Hill est l’un des points de vue les plus emblématiques d’Édimbourg. Elle abrite plusieurs monuments :

  • le National Monument, surnommé « le Parthénon inachevé »,
  • le Dugald Stewart Monument, souvent photographié au coucher du soleil,
  • l’Observatoire, à l’architecture néoclassique.


Conseils pratiques :

  • Accessible à pied depuis le centre-ville (10-15 min depuis Princes Street)
  • Parfait au lever ou au coucher du soleil pour les photos.
  • Peu de vent = miracle, sinon prévois un bonnet et des yeux anti-bise.


À savoir :

Spot idéal pour une première vue d’ensemble de la ville.
Pas de cafés là-haut, donc monte avec ta bouteille d’eau… ou ton whisky de poche (mais à boire avec modération et panorama 😉).

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